Depuis 15 ans, Klima équipe, conseille et maintient la climatisation de l’un de ses plus fidèles clients, le groupe Neurones, à Nanterre, qui emploie aujourd’hui plus de 5000 personnes. Témoignage.
Expert en installations techniques de climatisation, ventilation et chauffage dans Paris et la région parisienne, Klima fête cette année ses 20 ans ! Sa réussite, Klima la doit en bonne partie à la fidélité de ses clients, qui lui confient été comme hiver le confort de leurs salariés. Le groupe Neurones est de ceux-là. Basé en Île-de-France, à Nanterre, Neurones est un groupe de conseil (management, organisation et digital) et de services numériques mis en œuvre par des entités spécialisées par métier, dont les activités sont regroupées en plusieurs pôles.
Marc Brunet, aujourd’hui jeune retraité et ancien responsable des services généraux de Neurones, raconte : « Neurones est arrivé à Nanterre dans les locaux actuels au début des années 90, le groupe faisait environ 500 personnes. Il compte aujourd’hui plus de 5000 collaborateurs. Au début, il n’y avait que le rez-de-chaussée, nous avions un autre prestataire. Ensuite, au fil de sa croissance, l’entreprise a loué les étages supérieurs. On prenait un plateau, on le climatisait, c’est là où Klima est intervenu. Comme les relations avec Klima étaient très bonnes, si on prenait d’autres étages, il était normal que l’on appuie sa candidature auprès du propriétaire. »
Ce qui a convaincu Marc Brunet d’accorder sa confiance à Klima ? « Le premier chantier a été fait au deuxième étage du bâtiment, se souvient-il. Il fallait aller sur le toit pour installer les groupes, donc il y avait pas mal de travail de terrassement. Un gros travail au départ. Klima a fait le choix de prévoir l’avenir, de prévoir les réservations qui allaient recevoir les futures canalisations et les fluides. Et ça s’est très bien passé. »
Et puis, au fil de la croissance du groupe, donc, Neurones a loué de nouveaux étages du bel immeuble de l’avenue Georges-Clémenceau. Il a fallu climatiser ces autres étages et, pour Klima, se mesurer à des concurrents qui eux aussi proposaient des devis intéressants. Mais, par expérience, Marc Brunet en est convaincu, « pour un utilisateur et un mainteneur, il est important de n’avoir qu’un seul prestataire en qui on a confiance sur tous les niveaux, de manière à faire des interventions globales et à profiter d’une économie d’échelle ».
Yoann Blott, le nouveau responsable des services généraux du groupe Neurones, conserve la même stratégie : « Cela fait plus de 5 ans que je suis chez Neurones. Depuis le départ de monsieur Brunet il y a un an et demi, j’ai pris la suite. À chaque fois qu’on reprend un étage, on reste chez Klima, il est préférable d’avoir un seul prestataire qui fait l’installation et prend la maintenance ensuite. »
François Bascou, dirigeant de Klima, résume : « Neurones est un client que l’on accompagne depuis 15 ans. Avec l’arrivée de nouvelles entités, ils ont équipé tous leurs immeubles de 6 étages, avec 3 plateaux de bureaux par étage. Klima équipe et maintient les trois quarts de leurs locaux. » Comme le groupe de Nanterre préfère miser sur l’agilité de différentes entités spécialisées par métier, il ne souhaite pas une gestion entièrement centralisée de la clim.
Chaque étage comporte ainsi jusqu’à trois plateaux de bureaux, occupés chacun par une entité différente. « Ils ont une gestion centralisée par plateau, précise François Bascou, ce qui leur permet de couper le soir, de faire du réduit la nuit et en hiver, c’est de la programmation. » La gestion décentralisée de la clim n’en implique pas moins des choix techniques cohérents et pérennes pour l’ensemble du groupe, initiés par les services généraux et validés par la direction générale.
« Quand on a pris un nouveau plateau il y a un an, raconte Yoann Blott, il y avait un vieux système, on est reparti sur une installation neuve. J’ai vu François Bascou, on a fait un tour du plateau ensemble et je lui ai montré les plans des locaux. On a discuté du nombre de cassettes à mettre en place sur ce petit plateau de 300 m². » Dans les faits, des groupes VRV Daikin permettent de déployer des installations par étage. Très modulaires, ces systèmes « à détente directe » ont l’avantage de traiter chaque plateau de manière indépendante.
François Bascou explique : « Cette solution offre un rendement – un coefficient de performance – élevé, donc c’est assez économique. Autre point intéressant : comme il n’y a pas beaucoup de place pour passer dans l’immeuble, des systèmes à détente directe comme le VRV, par exemple, sont un avantage. »
Sans entrer dans les détails techniques, rappelons juste qu’il existe deux familles de climatisation : l’eau glacée et la détente directe, avec du fréon. Les tubes en cuivre pour le fréon ont l’avantage d’être beaucoup plus petits et bien moins lourds que ceux, en acier, pour l’eau glacée. Pour de petites surfaces, la mise en œuvre est ainsi plus confortable et plus modulaire avec du cuivre. De plus, comme les colonnes techniques de l’immeuble de Nanterre sont très encombrées, l’espace disponible pour l’installation des réseaux est réduit. Yoann Blott y trouve donc un autre intérêt : « Cela fait quelques années qu’on prend le même système de climatisation Daikin, avec des cassettes 8 voies, qui sont peu épaisses et qui conviennent très bien dans tous les étages, parce qu’on a un plénum (l’espace entre le plafond et le faux plafond, ndlr) très faible ».
L’installation actuelle permet d’anticiper l’évolution des besoins, ajoute François Bascou : « On place un appareil en face de chacune des fenêtres, comme ça le locataire peut cloisonner comme il le souhaite, il a toujours un appareil en face d’une fenêtre. On laisse les télécommandes dans le faux plafond. En fonction des demandes, on met une télécommande pour deux cassettes s’ils veulent un grand bureau, etc. Et on ajoute une gestion centralisée pour le plateau. »
La programmation offre un indispensable niveau de confort et de gestion intelligente de l’énergie, d’autant que depuis une quinzaine d’années, les nouvelles climatisations assurent aussi le chauffage. L’hiver, par exemple, à partir de 22 heures, on peut passer de 21 à 12 degrés, puis réenclencher automatiquement à 6 heures du matin pour atteindre les 20 degrés. Idem pour la clim, qui peut se couper intelligemment le week-end. Si une personne revient travailler, elle peut bien sûr la remettre en route. Et le lendemain, la gestion automatique reprendra la main.
Et sinon, pas un seul petit coup de froid en 15 ans de relations commerciales ? « Ça s’est plutôt très bien passé, juge l’ancien responsable des services généraux de Neurones. Mais si vous voulez que je vous parle des soucis, alors oui, il y en a eu un, une fois, dans un étage où il y a très peu de place dans le plénum, de 20 à 30 centimètres, avec des pentes très difficiles à organiser. On a eu des problèmes de retour de condensat dans les tuyaux, mais ça s’est réglé. Il y a toujours des tensions quand il fait chaud, à cause du condensat, jamais quand il fait froid ! Ça s’est résolu car il y a le côté commercial, le feeling entre les gens, quand ils se parlent correctement. Et avec François ça a toujours été très convivial. J’ai toujours eu une bonne écoute. »
Son successeur au sein du groupe Neurones, Yoann Blott, conclut lui aussi sur une note positive : « Les relations avec Klima sont très bonnes, ça se passe très bien. Quand il y a de petits problèmes de maintenance, je passe un coup de fil et c’est réglé dans la foulée. Je suis satisfait. » Klima remercie Marc Brunet, Yoann Blott et le groupe Neurones pour la confiance qu’ils lui accordent. À leur niveau, sans être les plus visibles, les équipes de Klima ont à cœur d’offrir à leurs clients les meilleures solutions technologiques pour une efficacité énergétique optimale, sans perdre de vue le premier objectif, tant lors de l’installation initiale que pour la maintenance : un haut niveau de confort au quotidien.
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